On parle beaucoup des softs skills et de l’importance de les développer aujourd’hui.
Dans la sphère des compétences relationnelles, celle qui pourrait être un préambule à toutes les autres est celle de l’intelligence relationnelle qui pourrait se traduire par notre capacité à mieux nous connaître, à être davantage au clair avec nos modes de fonctionnement et de communication préférentiels pour mieux nous « gérer » et prendre soin de soi ; puis par la capacité à mieux comprendre le mode de fonctionnement des autres pour mieux interagir.
Une meilleure relation à soi et aux autres en somme.
Les modèles de profils de personnalité sont de bons outils pour développer notre intelligence relationnelle, pour autant que nous les utilisions à bon escient : ils permettent d’éclairer les modes de fonctionnement et les modes de communication plus efficaces en fonction des profils, et constituent des clés de lecture pour mieux comprendre les sources de motivation et les réactions sous stress. Il ne s’agit pas de mettre des gens dans des cases.
Lorsque j’aborde l’un de ces modèles, je commence toujours par dire que « ce modèle, comme tous les autres modèles, est faux ». Pourquoi ?
Parce que quelle que soit la fiabilité des modèles, ils ne viennent décrypter des modes de fonctionnement que sous certains prismes : ceux sur lesquels repose le modèle.
Parce que les êtres humains que nous sommes ne sauraient être réduits à un profil tant nous sommes complexes.
Parce que des individus se reconnaissant dans un même « profil » peuvent avoir des manières différentes de l’incarner tant le poids de la culture, de l’éducation, de l’expérience est important dans nos modes de fonctionnement.
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